Être dans le déni n’est pas mentir.
« Il s’agit d’un mécanisme de défense par lequel le sujet refuse de reconnaître certains aspects d’une réalité qui paraît évidente pour les autres », explique Ingrid Bertsch, psychologue au CRIAVS de la région Centre.
Le déni puise sa force dans l’inconscient.
Il amène la personne à penser et à agir comme si le délit n’existait pas.
Ou, s’il existe, à en imputer la responsabilité soit à la victime, soit à une cause extérieure (par exemple l’alcool).
En somme, l’auteur ne prend pas conscience de l’aspect négatif de ses actes et de la responsabilité qui s’ensuit.
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