Nous avons tous des périodes où nous nous sentons stressés.

Mais lorsque cet état se prolonge, cela peut conduire au burn out.

Il est important de repérer les premiers signes de ce syndrome d’épuisement professionnel afin d’en limiter les conséquences.

Un certain niveau de stress peut avoir un effet bénéfique sur notre productivité au travail. Des projets peuvent nous aider à repousser vos limites. En période de fatigue ou d’émotion intense, l’organisme libère des hormones du stress, notamment le cortisol et l’adrénaline. À court terme, cela peut momentanément booster vos performances.

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Mais un excès de stress sur des périodes prolongées a l’effet opposé, et peut entraîner une pathologie connue sous le nom de burn out. Sans repos ni récupération suffisante, le burn out traduit un épuisement à la fois mental, physique et émotionnel. Attention !

La notion de burn out a été définie pour la première fois dans les années 1970 pour décrire l’épuisement au travail des professionnels de santé et de soin.

Elle s’est ensuite appliquée à l’ensemble des syndromes d’épuisement professionnel, quelque soit la profession. Il existe aussi un burn out de l’aidant (s’ocuuper de ses parents vieillissants par exemple). D’après l’Organisation Mondiale de la Santé, un adulte sur quatre fera un burn out au cours de sa vie. L’OMS a récemment inclus le burn out dans sa Classification internationale des maladies, le décrivant comme “un phénomène lié au travail”, quel qu’il soit.

Dans les faits, le burn out se traduit par une diminution de l’engagement au travail, avec un détachement notoire de tout ce qui touche à l’activité. Cela a pour conséquence une inadéquation entre le travailleur et son poste, pouvant aboutir à l’incapacité totale d’effectuer son travail ainsi qu’à une dépression.

Les personnes atteintes ne perdent pas pour autant le goût de réaliser des activités dans la sphère privée. C’est d’ailleurs là que se situe une des différences avec la dépression.

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Confrontés au Covid-19, de nombreux soignants sont affectés par des troubles psychologiques importants.

Des professionnels de santé présentent des symptômes d’anxiété, de dépression ou des troubles de stress post-traumatiques.

Car en première ligne pour prendre en charge les malades du Covid-19, les professionnels de santé le sont aussi pour les troubles psychologiques.

Hors pandémie, les soignants sont plus à risque que la population générale d’avoir des troubles mentaux, d’être sous-diagnostiqués et sous-traités. Cette vulnérabilité s’explique par le niveau important de stress dans ces professions, confrontées à la souffrance et à la mort.

Les quelques études menées pendant la première vague de l’épidémie confirment le fort impact sur les soignants.

Une enquête française par questionnaires en ligne, auprès d’un millier de professionnels travaillant dans 21 unités de soins intensifs, a ainsi retrouvé des symptômes d’anxiété chez plus de la moitié d’entre eux (50,4 %) et de dépression chez près d’un sur trois (30,4 %).

Des signes de « dissociation péritraumatique » (sensation de se déconnecter de la réalité, d’être sur pilote automatique…), qui sont des facteurs de risque de présenter secondairement un trouble de stress post-traumatique, étaient présents chez 32 % de ces professionnels.

Les infirmiers et aide-soignants étaient les professionnels le plus souvent concernés.

J’identifie six déterminants de ces symptômes :

  1. la peur d’être infecté
  2. l’incapacité à se reposer
  3. l’incapacité à s’occuper de la famille
  4. la lutte contre des émotions difficiles
  5. le regret des restrictions dans les politiques de visite
  6. et le fait d’être témoin de décisions hâtives de fin de vie.

Une autre enquête française en ligne, à laquelle ont participé un millier de soignants (dont 838 femmes), exerçant en majorité à l’hôpital public, a constaté un taux très élevé de symptômes post-traumatiques (57,8 %) et de burn-out (de 26 % à 41 %).

Les effets de l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing), une thérapie de « désensibilisation et reprogrammation par mouvement des yeux », ont été validés dans les psychotraumas et certaines dépressions, ainsi que l’hypnose avec un psy.

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