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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en télé-séances (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin

«Super Skunk» et «Dutch Nederwiet».

Voici le nom des potentiels responsables de la survenue de psychoses.

Ces variétés de cannabis à forte teneur (plus de 10%) en tétrahydrocannabinol (la substance active de cette drogue) pourraient multiplier par cinq le risque de développer un épisode psychotique chez des personnes qui en consomment quotidiennement, par rapport à des personnes qui n’en n’ont jamais pris.

Ces conclusions alarmantes sont le résultat d’une étude menée sur 901 patients et 1 200 personnes ne présentant pas de pathologie.

Cette recherche, conduite sur onze sites européens et un brésilien, montre que cette menace est d’autant plus importante dans les villes de Londres et d’Amsterdam où ce cannabis très fortement dosé est facilement disponible.

D’après les auteurs de cette recherche, « si les types de cannabis à forte puissance n’étaient plus disponibles, 12% des cas de trouble psychotique du premier épisode pourraient être prévenus en Europe. »

Des conclusions qui viennent renforcer les anciennes recherches ayant déjà pointé du doigt l’influence néfaste de cette drogue sur la santé mentale.

Etude originale ici : https://www.thelancet.com/journals/lanpsy/article/PIIS2215-0366(19)30048-3/fulltext

L’addiction aux opiacés, première cause de mort par overdose en France.

Et oui…

L’abus et la dépendance aux antidouleurs constituent l’une des pires crises sanitaires de l’histoire récente.

Aux Etats-Unis, elle fait des ravages croissants depuis dix ans.

Elle n’avait jamais fumé, jamais pris la moindre drogue, « j’avais l’alcool un peu facile, quand même ». Pourtant, après six ans de hauts et de bas, d’arrêts et de rechutes, Lucie est formelle (le prénom a été changé) : « Je suis addict et je ne peux plus m’en sortir seule. »

Pour cette femme de 34 ans, la rencontre avec les médicaments opiacés a eu lieu il y a six ans, après une opération des yeux. « J’avais mal, l’ophtalmo m’a prescrit du Dafalgan codéiné, se souvient-elle. Tout de suite, j’ai accroché. La diminution de la douleur mais aussi un apaisement corporel, un bien-être. Mais j’ai arrêté à la fin du traitement. C’est quelques mois plus tard, lors d’une crise de névralgie que j’ai recommencé. »

Cette fois, l’ingénieure médicale ne se ­contente pas des prescriptions. « C’est devenu une béquille. Si j’avais mal quelque part, ou un coup de mou, ça me faisait du bien. D’abord de façon épisodique, puis régulière, puis tous les jours. En quelques mois, je suis devenue accro. Sans produit, j’étais en manque : des bouffées de chaleur, des douleurs musculaires, des pics de tension… Je ne supportais pas d’être comme une droguée, j’ai décidé d’arrêter. »

Peu à peu, elle diminue les doses et finit par se ­sevrer du produit.

Mais lors d’un nouvel épisode de névralgie, elle consulte un ami rhumatologue. « Il m’a proposé du Tramadol. Je lui ai dit que j’avais été accro à la codéïne mais il m’a rassurée : ça n’a rien à voir. Et j’ai replongé. En pire. Le produit est beaucoup plus puissant. J’ai essayé plusieurs fois d’arrêter mais les crises de manque sont beaucoup plus violentes. J’en prends tous les jours, je prévois mes boîtes quand je pars en voyage. Le produit me fait de moins en moins d’effet. J’enprends de plus en plus. Je suis à la dose maximum quotidienne, sauf que cela fait deux ans, alors que l’on ne devrait pas dépasser quelques jours… »

 

Source: lemonde.fr

« Parfois on se dit: Mon Dieu, avec combien de gens ai-je couché ce week-end? », confie James Wharton, un trentenaire britannique.

Le chemsex, pratique qui allie sexe et consommation de drogues de plus en plus puissantes, se développe partout en Europe chez les homosexuels.

Chemsex est la contraction de « chemicals » (drogues chimiques en anglais) et « sex ».

Le but: lever ses inhibitions, augmenter son endurance et son plaisir.

Les dangers: addiction, overdose et risques de contamination, notamment au virus du sida, auquel une conférence internationale sur la recherche a été consacrée à Paris du 23 au 26 juillet.

« Il y a une augmentation des signaux sanitaires autour de ce phénomène, de la part des services de soins pour des maladies infectieuses ou des services d’addictologie », explique à l’AFP Maitena Milhet. Cette sociologue collabore au dispositif d’observation de l’OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies), TREND, qui vient de publier une étude sur le chemsex.

Associer sexe et drogues, à deux ou en groupe, n’a rien de nouveau. Ce qui l’est en revanche, c’est l’utilisation de puissantes substances de synthèse achetées sur internet: méthamphétamines, GBL/GHB ou cathinones (principe actif du khat, une plante euphorisante).

De plus, la pratique est favorisée par les applis de rencontre comme Grindr.

« Avec les smartphones, vous pouvez tout faire depuis votre canapé: commander de la drogue et trouver des partenaires sexuels », relève Fred Bladou, de l’association française Aides, qui a mis en place un numéro d’urgence sur le chemsex.

Malgré l’absence de chiffres officiels, les travailleurs sociaux européens dressent le même constat: le chemsex est un phénomène certes marginal et circonscrit à une partie des hommes gay, mais qui tend à augmenter.

« Londres est sans doute la capitale du chemsex », note David Stuart. Ce pionnier dans la compréhension du phénomène travaille pour la clinique 56 Dean Street, spécialisée dans la santé sexuelle. Selon lui, « 3.000 hommes gays viennent consulter chaque mois en lien avec les conséquences du chemsex », qui sont multiples.

D’abord, les risques d’addiction.

Certains « n’avaient jamais ou rarement pris de drogue auparavant et se mettent à en consommer massivement », souligne l’Allemand Andreas von Hillner, du centre d’accueil pour gays Schwulenberatung Berlin.

L’un des modes de consommation est particulièrement risqué: l’injection, appelée « slam ».

En France, parmi les 21 cas de surdoses mortelles sur lesquels a enquêté la brigade des stupéfiants de Paris en 2015, trois étaient liés à l’usage de cathinones en slam et les victimes appartenaient au « milieu festif gay », selon l’OFDT.

Autre danger: la désocialisation.

« Le chemsex, c’est super quand tu planes complètement et que six ou sept mecs nus essaient de t’entraîner dans un coin de la pièce, mais les phases de descente peuvent avoir des effets dramatiques sur ta vie », raconte James Wharton.

« Quand je me suis demandé de quand date la dernière fois que tu es allé au ciné ?, j’ai réalisé que pendant deux ans, j’avais passé mes week-ends dans des appartements avec des gens uniquement pour le sexe », se souvient cet ancien soldat devenu militant LGBT, qui a sorti le 27 juillet un livre sur son expérience.

Pour lui, les adeptes du chemsex recherchent une intimité immédiate: « Tu rencontres quelqu’un, tu couches avec lui dans l’heure, tu lui racontes des choses très personnelles et vous devenez très proches très vite ».

Plus grave, les « chemsexeurs » s’exposent à des risques de contamination.

« Beaucoup n’utilisent plus de préservatifs quand leur perception des risques disparaît » à cause de la drogue, déplore Ivan Zaro, travailleur social à Madrid. Et l’échange de seringues peut favoriser les infections.

« Quand nous envoyons un pratiquant de chemsex en centre d’accueil pour toxicomanes, il se retrouve au milieu d’accros à la cocaïne, à l’héroïne, et ne s’y reconnaît pas », remarque M. Zaro.

« Ceux qui prennent de la drogue dans un but sexuel ne se voient pas comme des drogués », confirme Carsten Gehrig, de l’ONG allemande Aidshilfe Frankfurt.

En Allemagne, le gouvernement a chargé l’ONG Deutsche Aids-Hilfe de former les professionnels de santé au suivi spécifique des gays adeptes du chemsex.

« Il faut éviter les discours alarmistes, qui sont contre-productifs, pense Fred Bladou. Plus on stigmatise les gens, plus on les coupe du soin ».

 

Source: sciencesetavenir.fr

C’est sa dernière addiction…

Naomi Campbell a réussi à se défaire de toutes ses addictions sauf de la cigarette.

Une habitude qu’elle ne veut plus avoir en 2017, et elle tente donc le tout pour le tout.

« J’ai encore un problème avec le tabac, a-t-elle avoué sur le plateau de The View face à Whoppi Goldberg. Je fume moins, mais c’est vraiment dur de s’en débarrasser, donc je vais retourner voir un hypnothérapeute. »

La top a toutes les cartes en main pour réussir. Elle a déjà résolu ses problèmes avec la drogue par le passé, ainsi qu’avec l’alcool.

Afin de la convaincre d’arrêter définitivement le tabac, Whoopi Goldberg a fait part de sa propre expérience.

Aujourd’hui ancienne fumeuse, l’actrice de Sister Act a fait usage de la cigarette pendant 40 ans. Ce qui l’a définitivement convaincue d’arrêter, c’est une vidéo de « deux gamins qui avaient la mucoviscidose ».

« L’un des deux finissait par dire, « tout ce que je veux, c’est respirer comme une personne normale ». Il avait 9 ans, et je me suis dit, « je fume depuis 40 ans, et tout ce que ce gamin veut, c’est pouvoir respirer sans danger ». Ça m’a convaincue… A chaque fois que tu vas fumer, dis-toi que certaines personnes veulent juste pouvoir respirer correctement. »

Naomi Campbell a pris rendez-vous chez l’hypnothérapeute pour arrêter de fumer une bonne fois pour toutes.

 

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Le cannabis agit sur la mémoire en modifiant directement l’activité des centrales énergétiques des cellules cérébrales, qui ne peuvent alors plus fonctionner.

Le cannabis est notoirement connu pour perturber la mémoire, à court et à long terme. Dans le cerveau, on sait que son composé actif, le THC (delta9-tétrahydrocannabinol), se fixe sur des récepteurs dits cannabinoïdes, le récepteur CB1 en particulier, pour modifier l’activité des neurones et d’autres cellules cérébrales. Mais on ignorait à ce jour comment le THC altérait directement la mémoire. L’équipe de Giovanni Marsicano, du NeuroCentre Magendie de l’Inserm à Bordeaux, a probablement trouvé la réponse : le THC perturbe le fonctionnement des centrales énergétiques des cellules, les mitochondries.

Et sans énergie, pas d’activité. À l’intérieur des cellules animales, les mitochondries convertissent l’oxygène et les nutriments en énergie (sous forme d’ATP), nécessaire à tous processus biochimiques. Lors de n’importe quelle tâche cognitive, les neurones consomment de l’ATP pour s’activer, communiquer ou créer des connexions avec des neurones voisins. Le cerveau ne représente que 2 % du poids du corps, mais il consomme 25 % de son énergie ! Des anomalies des mitochondries provoquent des troubles neurologiques et psychiatriques souvent graves. Mais on n’avait jamais directement démontré l’importance des mitochondries dans des fonctions cérébrales.

Marsicano et son équipe ont fait d’une pierre deux coups. Ils ont découvert qu’il existe un récepteur du THC sur la membrane des mitochondries – nommé mtCB1. Ils ont alors créé des souris génétiquement modifiées pour ne plus exprimer ce récepteur sur les mitochondries des neurones de l’hippocampe, le centre cérébral de la mémoire. Pour ce faire, ils ont utilisé un virus non pathogène portant un gène qui modifie l’expression de mtCB1, et l’ont injecté dans l’hippocampe des souris.

Puis les chercheurs ont soumis ces rongeurs sans récepteur mtCB1 et des souris normales à une tâche de reconnaissance d’un nouvel objet, qui permet d’évaluer la mémorisation. Les animaux examinent deux objets dans une pièce pendant un certain temps, puis l’un des éléments est remplacé par un nouveau. Si leur mémoire fonctionne correctement, les souris passent plus de temps à observer ce nouvel objet que l’autre, qu’elles connaissent déjà. Si elles tournent autant autour des deux éléments, c’est que leur mémoire est déficiente. Enfin, Marsicano et ses collègues ont administré du THC à certaines souris des deux groupes.

Les résultats sont flagrants : le cannabis rend les souris normales amnésiques, mais pas celles qui ne possèdent plus de récepteur mtCB1 mitochondrial dans l’hippocampe. C’est la preuve que le THC altère directement l’activité des mitochondries, via mtCB1, et que les cellules de l’hippocampe ne disposent alors plus de suffisamment d’énergie pour fonctionner. Et grâce à l’analyse de tranches d’hippocampe de ces souris, les chercheurs ont montré que ce sont bien les récepteurs mtCB1 qui pertubent les voies de signalisation mitochondriale, puis l’excitation des neurones.

Les mitochondries participent donc à la mémorisation en apportant l’énergie nécessaire au fonctionnement des neurones, et le cannabis bloque l’activité des mitochondries. De nouveaux acteurs cellulaires des fonctions cérébrales viennent d’être découverts.

Sources: cerveauetpsycho.fr, larecherche.fr

Il va parfois jusqu’à mettre sa vie en danger pour tenter d’exister…

Qui cela ? Votre adolescent, peut-être !

Fugue, troubles alimentaires, drogue, comportements violents, mutisme…

Quand l’adolescent va mal, il le dit avec des mots, des silences, des actes qui sont autant d’appels au secours.

Quand l'adolescent va malComment réapprendre à écouter, à comprendre ?

Le Dr Pommereau explore les origines de ces troubles, analyse les réactions des adultes et propose de nouveaux modèles de relation fondés sur la confiance, la communication et la remise en question, pour aider l’adolescent à sortir de l’impasse.

Un excellent livre de poche sur les adolescents.

Bien plus accessible au grand public que Freud !

A recommander à tous les parents qui se sentent paumés.

Qui est le Dr Pommereau ?

Le Docteur Xavier Pommereau est psychiatre, il dirige l’unité médicopsychologique de l’adolescent au CHU de Bordeaux et anime régulièrement des conférences sur l’adolescence en crise

Source: « Quand l’adolescent va mal – L’écouter, le comprendre, l’aimer« , du Dr Pommereau, éditions J’ai Lu Bien-Etre

La dépendance psychologique (ou addiction), que ce soit pour l’alcool, la nourriture, la drogue, le jeu, la dépendance affective, sexuelle, n’est pas un problème de… volonté.

Arrêtez donc de vous culpabiliser !

Cette maladie met en œuvre ces mécanismes : l’obsession du produit (ou d’une personne), le conflit intérieur (« bagarre » pour consommer, passer à l’acte ou non, etc.), la dévalorisation de soi-même, souffrance (pour soi et pour l’entourage), la dégradation des conditions de vie de la santé, du couple, professionnelle.

C’est pourquoi la psychothérapie cognitivo-comportementale est aussi très efficace pour les addictions-dépendances.

Voici le contenu de quelques séances à mon cabinet :

  • Mise en évidence des croyances en rapport avec votre addiction
  • Mise en évidence de vos croyances favorisant la guérison thérapeutique
  • Mise en évidence de vos stratégies d’anorexie-boulimie
  • Définition de votre objectif thérapeutique : trouver comment transformer une demande ambivalente en objectif positif (selon des critères précis)
  • La dissociation séquentielle : prendre en compte la nature très particulière de la personnalité « dissociée » d’une personne dépendante et utiliser les moyens appropriés pour lui permettre de trouver d’autres moyens que sa dépendance pour résoudre ses difficultés personnelles
  • Compulsion : supprimer le besoin irrésistible (craving) de passer à l’acte
  • Prendre en compte et résoudre la culpabilité, la honte, une estime de soi très basse
  • Identifier les émotions que vous ne savez pas gérer, augmenter votre confiance, savoir qui vous êtes
  • Gérer vos besoins : découvrir les raisons profondes des besoins frénétiques de boire, de jouer, de se masturber, de fumer, de manger
  • Mise en place de repères aidants et progressifs : vous constatez que les choses changent dans le bon sens
  • La codépendance : sortir d’un schéma de codépendance
  • Etc, etc…

 

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« Le sexe sur le Net est comme l’héroïne,

il s’empare de ces personnes

et il ne les lâche plus »

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Max Schwartz, médecin dans le Missouri

L’autre n’est pas perçu comme une individu, mais juste comme un objet d’assouvissement de ces angoisses.

F.Duval-Levesque, psychotherapie, psychopraticien, hypnose, PNL, EMDR, sophrologie, coach, formateur, addiction, dependances, boulimie, depressionLe dépendant est incapable d’entendre l’autre, de le voir tel qu’il est… donc, il s’en sert. Il choisit exclusivement des partenaires qui sont en état de faiblesse. C’est totalement narcissique

Si vous n’arrivez plus à vivre sans l’autre, si l’autre devient carrément votre drogue, c’est le moment où jamais d’aller voir un thérapeute.

Il vous apprendra à modifier votre comportement, mettre à jour les causes dans votre passé :

– une insécurité pendant votre enfance ?

– Un parent démissionnaire ?

– Une première fois qui s’est mal passée ?

– Une rupture particulièrement difficile… etc ?

à différer vos attentes, mieux gérer votre frustration, et simplement, à vous aimer un peu plus.

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dependance-affective, F.Duval-Levesque, psychotherapie, psychopraticien, hypnotherapeute, EMDR, sophrologie, coach, formateur, addiction, dependances, boulimie, depression1C’est un comportement où l’amour et le sexe sont utilisés, non pas pour répondre à des besoins normaux et vitaux, mais surtout pour diminuer une souffrance ressentie.

Il ou elle utilise l’amour et le sexe comme une drogue pour se sentir mieux. C’est un symptôme de difficulté lié à la relation qu’on a avec l’autre mais aussi avec soi.

La véritable dépendance affective, quand elle atteint un stade ultime, s’avère être totalement destructrice. Aussi bien pour la victime que pour le dépendant.

Le dépendant n’a plus d’orgueil ni d’estime de lui-même. L’autre devient indispensable, pour ne plus sentir la douleur, et cela amène à quémander de l’amour à n’importe qui.

La peur d’être seul, la mauvaise estime de soi, les interprétations déformées et un égo surdimensionné sont susceptibles de mener à cette dépendance de l’autre.

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Un homme, promis à la présidence de la République, qui multiplie les aventures scandaleuses à la veille de son investiture…

Un chirurgien qui file voir une prostituée alors qu’un accidenté l’attend au bloc…

Un salarié qui risque son job en abusant de vidéos pornos au bureau…

Difficile d’imaginer que l’on puisse tout sacrifier pour de simples pulsions sexuelles !

Trop souvent considérés comme des séducteurs impénitents, ou au contraire traités de pervers, ces hommes et parfois ces femmes souffrent en réalité d’une seule et même pathologie : l’addiction sexuelle.

peurs, phobies, F.Duval-Levesque psychopraticien hypnothérapeute coachDans notre société, où la liberté sexuelle est brandie comme l’étendard de l’épanouissement personnel, nous refusons de voir qu’elle peut aussi générer son contraire : la dépendance.

Est-il possible que le sexe puisse, lui aussi, devenir une drogue dure ?

Aux États-Unis, l’addiction sexuelle est prise en charge depuis les années 1980 au même titre que d’autres addictions, comme la drogue ou l’alcool.

Cette maladie toucherait plus de 5 % de la population. Des vedettes comme Michael Douglas, David Duchovny, Charlie Sheen ou Tiger Woods ont même avoué publiquement en être atteintes.

Cette reconnaissance médiatique a été un premier pas vers une compréhension de l’addiction par le grand public.

En France, en revanche, les sex addicts, qui ne laissent rien paraître, sont toujours niés dans leur souffrance, alors qu’ils auraient besoin d’être reconnus, entendus et soignés par des thérapeutes compétents. Encore faut-il que ces addicts ne soient pas dans le déni. Et, qu’en face d’un psychopraticien, ils ne mentent pas et soient aussi honnête envers eux-même.

Sauf erreur de ma part, seules les psychothérapies cognitivo-comportementales ont fait preuves de leur efficacité pour guérir des dépendances.

L’addiction sexuelle n’est pas l’apanage d’une classe sociale ou d’une génération. Elle touche aussi bien des jeunes, exposés trop tôt à la pornographie sur Internet, que des cadres sous pression ou même des mères au foyer.

Quel est le quotidien des hommes et des femmes atteints de cette maladie ?

Comment devient-on sex addict ?

Comment se sevrer d’un plaisir aussi vital que le sexe ?

Et comment les conjoints co-dépendants vivent-ils la maladie de leur partenaire ?

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Je reçois des personnes souffrant d’addictions, au sexe aussi, depuis des années. Et depuis l’affaire DSK, celles-ci sortent du déni et osent enfin consulter.

Comme la boulimie (addiction à la nourriture), ces personnes sont en mal-être. Elles cachent leurs problèmes à leur entourage, parfois pendant des années.

Oui, mes patients guérissent de leurs addictions. Et oui, après être guéris, trournent la page définitivement et vont de l’avant.

Puis-je vous recommander de jeter un oeil à mes articles ci-dessous ? Ils pourraient beaucoup vous aider :

https://psychotherapeute.wordpress.com/2012/10/29/les-sex-addicts-se-devoilent-a-mon-cabinet-depuis-laffaire-dsk/

https://psychotherapeute.wordpress.com/2012/11/15/accro-au-telephone-laddiction-pour-vous-proteger-de-la-solitude/

https://psychotherapeute.wordpress.com/2012/11/11/sex-addicts-quand-le-sexe-devient-une-drogue-dure/

https://psychotherapeute.wordpress.com/2012/10/31/etes-vous-dependante-au-sexe-faites-ce-test-rapide/

https://psychotherapeute.wordpress.com/2012/11/08/origine-dune-addiction-dependance-profond-sentiment-dinsecurite-affective-dans-lenfance/

https://psychotherapeute.wordpress.com/2012/11/05/quel-est-lun-des-plus-gros-problemes-dun-addictif/

Et la Boulimie, savez-Vous ce que c’est ?

Etes-Vous Hyperphagique ? Vous en êtes Sûr ?

C’est Prouvé ! L’Anorexie peut se Guérir selon cette Etude Finlandaise

Dépression et Prise de poids vont Ensemble : que Faire pour Guérir ?

Mal-Etre, Dépression : 7 Conseils Pratiques pour Aller Mieux !

Le Mal-Etre, c’est Quoi au Juste ?

Une enquête sociologique à très grande échelle (résultats complets en anglais et principales conclusions en français), menée dans 25 pays auprès de 25 140 internautes européens âgés de neuf à seize ans, tend à montrer que la plupart des dangers associés à Internet pour les plus jeunes sont généralement surestimés. Financée par la Commission européenne, pilotée par la London School of Economics, avec le CNRS pour l’enquête française, cette étude montre également que les parents ont souvent une appréciation erronée de ce que leurs enfants considèrent comme une expérience traumatisante ou désagréable.

Premier constat : Internet fait partie du quotidien des jeunes Européens, qui sont 93 % à s’y connecter au moins une fois par semaine. Et ils surfent de plus en plus tôt : l’âge moyen pour la première connexion varie d’un pays à l’autre, de sept ans en Suède à 8-9 ans en France. Surtout, cet âge tend à diminuer dans tous les pays.

Les 9-16 ans sont également adeptes des réseaux sociaux. 26 % des 9-10 ans sont inscrits sur un réseau social, et le chiffre passe à 81 % pour les 15-16 ans. Dans la plupart des cas, ces outils sont utilisés pour communiquer avec des personnes qu’ils connaissent déjà, même si 25 % des jeunes Européens discutent aussi avec des inconnus, principalement lors de jeux en ligne.

CONTENUS CHOQUANTS

L’enquête révèle que 21 % des 11-16 ans disent avoir été confrontés à des « contenus malsains » en ligne, une catégorie large qui englobe aussi bien des messages de haine que des contenus traitant du suicide, de la drogue ou de l’anorexie. Ce chiffre est particulièrement faible en France, où il n’atteint que 14 %. « Ce que l’on constate, c’est que dans les pays scandinaves, où l’usage d’Internet s’est développé depuis plus longtemps, ce taux est plus important, note Dominique Pasquier, responsable de la partie française de l’étude au CNRS. Ce sont aussi des pays où les modèles de régulation, la surveillance exercée par les parents sont plus ‘laxistes’ qu’en France ou en Allemagne, où le taux est comparable. » L’étude montre également que ce chiffre est particulièrement élevé dans les pays d’Europe de l’Est, comme la République tchèque.

Surtout, et c’est l’un des principaux enseignements de l’enquête, ce qui constitue un contenu choquant ou une expérience traumatisante pour les adultes ne l’est pas forcément pour les enfants. Ainsi, 14 % des jeunes européens disent avoir vu des images pornographiques ou à caractère sexuel sur le Web, mais seul un tiers d’entre eux estime qu’il s’agissait d’une expérience pénible. « Les jeunes qui ont été perturbés par un problème sur Internet sont une petite minorité : seulement 8 % des 9-16 ans en France, et 12 % au niveau européen », note le CNRS.

Le phénomène le plus mal vécu par les jeunes Européens reste le harcèlement en ligne : si seuls 6 % des 9-16 ans disent avoir été victimes de ces messages, les deux tiers d’entre eux ont été « assez » ou « très » tracassés. Dans la majorité des cas, ces messages agressifs ne génèrent pas d’angoisses durables, seuls 6 % des victimes y pensant pendant plusieurs mois. « De plus, le harcèlement est plus fréquent en face à face (13 % des enfants) que sur Internet (6 %) ou par téléphone mobile (3 %) », précise le CNRS.

LE RÔLE DES PARENTS

Les chercheurs ont également analysé les relations entre parents et enfants au sujet d’Internet. Ces dernières sont « peu conflictuelles », concluent-ils, et « le récit qu’ils en font est beaucoup plus concordant [entre parents et enfants] que sur la télévision, où le déclaratif des enfants diffère souvent beaucoup de celui des enfants ». Sans surprise, les amis (73 %) et les enseignants (76 % en France) font également partie des interlocuteurs des 9-16 ans pour discuter d’éventuels problèmes. Dans ses conclusions, l’étude recommande à la Commission européenne, qui a financé cette recherche, de mettre l’accent sur l’éducation des jeunes — et des parents — et le développement d’outils de contrôle parental.

Mais l’enquête fait apparaître aussi un étonnant paradoxe : si les parents ont tendance à surestimer le traumatisme que peut générer un contenu choquant, ils sous-estiment largement les types d’expérience qu’ont pu connaître leurs enfants. Ainsi, 40 % des parents dont les enfants ont vu des images sexuelles pensent que cela ne leur est pas arrivé, et ce chiffre monte à 56 % pour les destinataires de messages agressifs.

 

Source : lemonde.fr

 

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Des chercheurs américains confirment, ce que chacun soupçonnait, que charcuteries, pâtisseries et autres aliments délicieux peuvent être addictifs.

Les aliments gras et riches en calories provoqueraient une dépendance similaire à celle provoquée par les drogues, selon leurs travaux publiés dans la revue Nature Neuroscience. Les mêmes mécanismes cérébraux qui poussent à la toxicomanie mèneraient à une alimentation compulsive.

Paul Kenny et Paul Johnson de l’Institut de recherche Scripps ont mené cette étude avec des rats répartis en trois groupes: un premier nourri avec leur nourriture régulière, un deuxième ayant accès une heure par jour à une nourriture humaine riche en calories (saucisse, gâteau au fromage, …) et un troisième ayant accès à ces aliments riches en calories 23 heures par jour.

Le groupe qui se gavait de nourriture humaine est rapidement devenu obèse.

Et ils présentaient également des changements cérébraux.

Des électrodes implantées dans le cerveau indiquaient que ce groupe avait développé une tolérance au plaisir procuré par la nourriture et devait manger plus pour obtenir un « high ». Ces rats se sont mis à manger compulsivement au point où des chocs électriques ne les empêchaient pas d’accéder à la nourriture contrairement aux deux autres groupes.

Des études précédentes avaient montré les mêmes changements cérébraux chez des rats ayant un accès illimité à la cocaïne et l’héroïne. Et ils ignoraient de la même façon les chocs électriques pour continuer à consommer, indiquent les chercheurs.

« Le fait que le junk food puisse provoquer cette réponse n’est pas surprenant », commente Gene-Jack Wang du U.S. Department of Energy’s Brookhaven National Laboratory, dont les propos ont été recueillis par CNN.

La nourriture actuelle est sujette à être addictive: « Nos ancêtres mangeaient des grains entiers, mais nous mangeons du pain blanc. Les Indiens américains mangeaient du maïs, nous mangeons du sirop de maïs. Les ingrédients de la nourriture moderne amènent les gens à manger inconsciemment et de façon superflue et sont susceptibles d’amener un animal « à manger comme un toxicomane ».

Le neurotransmetteur dopamine semble être responsable du comportement des rats qui se suralimentent. Il est impliqué dans les centres du plaisir du cerveau et joue un rôle dans le renforcement des comportements.

Trop manger amène les niveaux d’un récepteur de la dopamine à baisser chez les rats obèses. « Chez les humain, de faibles niveaux des mêmes récepteurs ont été associés à l’addiction aux drogues et à l’obésité et pourraient être génétiques », indique Kenny.

« La généralisation de ces résultats à l’humain peut être délicate, met en garde Wang. Par exemple, dit-il, dans des études sur les médicaments pour la perte de poids, des rats perdaient jusqu’à 30% de leur poids, mais les humains ne perdaient que 5% de leur poids avec les mêmes médicaments. Il n’est pas possible de reproduire complètement le comportement humain, mais les études avec des animaux peuvent donner des indices sur des mécanismes qui peuvent survenir chez les humains », dit-il.

Source : psychomedia.qc.ca

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Interview d’Henri Gomez, médecin alcoologue à Toulouse

Comment expliquer l’attrait des plus jeunes pour l’alcool ?

« – Il y a une conjonction de facteurs qui passe à la fois par la recherche de la défonce psychothérapeute Frédéric Duval-Levesqueet par la volonté d’intégration au groupe. L’addiction est souvent associée à une polyconsommation de produits. On passe de la bière à l’alcool fort, du tabac au cannabis et très vite, dès l’age de 14 ou 16 ans, avec les problèmes qui vont avec, à savoir l’immaturité et l’instabilité. »

Dans votre pratique quotidienne, l’augmentation de l’addiction chez les jeunes est-elle sensible ?

« – C’est clair. En 20 ans, la moyenne d’âge des personnes faisant une première démarche pour être aidées à baisser de 10 ans. De plus en plus de jeunes font une démarche réelle vers un médecin entre 20 et 25 ans. Ils ne sont pas alcoolo-dépendants au sens habituel du terme, mais ils se rendent compte qu’ils ne savent plus faire avec l’alcool. C’est nouveau. Pas plus tard qu’aujourd’hui, j’ai reçu un jeune de 23 ans qui avait lui-même franchi le pas pour consulter. C’est souvent à cause d’un préjudice social comme la perte du permis de conduire, une rupture affective, voire la perte d’emploi et des difficultés d’argent. »

Comment les parents peuvent-ils déceler ces conduites ?

« – Je constate malheureusement une certaine démission des parents. Ce n’est pourtant, pas très difficile de faire le constat qu’un jeune boit quand il rentre dans un triste état d’une soirée arrosée. Il ne faut pas banaliser une ivresse, ce n’est pas un rite de passage comme on peut parfois le justifier. Il est très important de pouvoir parler à son enfant et éventuellement de saisir un médecin de famille pour au moins en discuter. C’est vrai que les facteurs sociétaux comme les divorces, les familles recomposées peuvent être un frein à cette prise de conscience et à ce dialogue. »

Quelle réponse peut-on apporter à ce type de dérive ?

« – Malheureusement, il n’y a pas actuellement de structures adéquates. Officiellement, les alcoologues n’existent pas, ce sont soit des gastro-entérologues comme moi ou des psys. Les seules centres d’accompagnement qui existent fonctionnent comme des dispensaires où passent des gens très marginalisés. Encore une fois, c’est le dialogue qui est important. Il ne faut pas hésiter à aller voir le médecin de famille ou un psy. »

(Dr Gomez a publié « Le Guide de l’accompagnement des personnes en difficulté avec l’alcool », édition Dunod)

Cher Lecteur, on peut baisser les yeux face à l’ivresse de son enfant, de son conjoint ou bien réagir.

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