Léa Poujol - Hypnose & Thérapie

Le syndrome de l’imposteur est un sentiment auto-entretenu d’incompétence et de doute en sa personne, en ses compétences et en ses capacité. Cette tendance psychologique de doute et de remise en question permanente persiste malgré les succès.

Ce sentiment de ne pas être à sa place, de ne pas mériter sa place, résulte d’un conflit entre la perception que l’on se fait des autres et la façon dont on se perçoit soi-même.

La personne sujette au « syndrome de l’imposteur » vit dans la crainte d’être « démasquée », que les autres personnes s’aperçoivent qu’elle n’est si compétente qu’ils le croyaient. 

Les conséquences peuvent être différentes chez les personnes concernées:

  • elles peuvent se réfugier dans un travail acharné et, à vouloir atteindre la perfection, elles s’épuisent à la tâche pour se prouver qu’elles méritent leurs succès (risque de burnout). Ces constants efforts de surpassement de soi renforcent le sentiment d’incompétence de départ…

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Il existe une charge émotionnelle qui, comme la fameuse charge mentale, peut conduire au burn-out.

Pour vous en prémunir, apprenez à identifier les cinq signaux d’alerte suivants :

1 – Reconnaîssez votre charge affective

La charge émotionnelle peut survenir à différents moments de votre vie.

Et naître d’une succession de contrariétés, de relations compliquées (emprise, manipulation, dépendance), de pressions (extérieures ou de notre fait), de croyances accumulées, d’épreuves récurrentes. Elle peut aussi être la conséquence d’un choc émotionnel violent (licenciement, séparation, deuil).

Comme la fameuse charge mentale, lorsqu’elle dure depuis trop longtemps et/ou lorsqu’elle est trop lourde, elle génère de l’épuisement : le burn-out émotionnel.

2 – Prenez au sérieux “la goutte d’eau”

Celle qui fait déborder le vase : la vexation, la déception, l’exigence, l’échec… de trop !

Comme l’organisme rejette en vomissant l’excès de nourriture ou une nourriture avariée, votre « organisme psychoaffectif » rejette l’événement en excès qui risquerait de vous rendre malades, de vous mettre K.-O. Trop souvent, vous rationaliez les faits en les relativisant, les minimisant, en vous rendant responsables.

Cela pour fuir un conflit, ne pas risquer une sanction, ne pas mettre en péril une situation ou une relation.

C’est un tort, car cette « goutte » est un puissant signal d’alarme qui vous dit que vous êtes en danger.

Elle exige de vous que vous analysiez ce qui a permis que ce « trop » arrive (causes intérieures, causes extérieures) et vous commande de réfléchir aux moyens (à court, moyen et long terme) qui vous éviteraient de porter à nouveau votre charge trop lourde.

3 – Identifiez votre sidération affective

Elle désigne l’état psychique de la personne qui a subi un choc affectif : rejet, exclusion, humiliation, trahison, rupture, deuil…

Son impact diffère d’une personne à l’autre, selon son histoire et sa sensibilité.

La reconnaître, la nommer, avoir conscience du choc et de ses conséquences vous permet de prendre le temps de récupérer, de prendre soin de vous, au lieu de poursuivre votre chemin comme si de rien n’était – en alourdissant votre charge affective par le déni, la culpabilité ou la honte.

4 – Adoptez les bonnes habitudes

-> La première est d’observer l’état dans lequel vous vous trouvez et d’évaluer votre état de saturation (charge agréable, facile à supporter, moyenne, difficile à supporter, saturation intolérable).

-> La deuxième consiste à repérer les blocages et les croyances qui vous empêchent de changer de mode, d’être en relation, de travailler ou de concevoir la vie.

->La troisième : trouver vos limites (qu’est-ce qui peut vous empêcher de vous épuiser ou de vous sacrifier ?).

-> La quatrième : chercher comment réduire votre mal-être, notamment par des pratiques psychocorporelles (Vittoz, sophrologie, pleine conscience) et surtout l’auto-hypnose (qui vous évitera aussi le déni) qui vous remettent en contact avec votre corps et vos sensations.

Cette reconnexion vous permet d’être plus à l’écoute des messages de trop-plein que vous envoient votre corps et votre psychisme, donc de mieux prendre soin de vous-mêmes.

-> Enfin, la cinquième habitude consiste à pratiquer le plus souvent possible l’« ici et maintenant » pour être en contact direct avec votre ressenti physique et émotionnel.

5 – Trouvez l’équilibre, votre harmonie

Le rythme juste, le bon tempo : corps, esprit et cœur doivent vibrer à l’unisson.

Au corps, le sommeil, l’activité sportive, artistique.

À l’esprit, la méditation, l’attention, le rêve (qui permet de comprendre des aspects de notre vie remontant de l’inconscient), l’auto-hypnose surtout (pour vider les émotions refoulées) et aussi l’humour, qui permet de vous libérer de ce qui vous pèse.

Au cœur, l’amour de soi, mais aussi l’amour respectueux et réciproque de l’autre.

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

« On fait deux boulots en un » : après le suicide de Christine Renon, des directeurs d’école racontent un « malaise généralisé ».

La mort de Christine Renon, directrice d’une école maternelle à Pantin, a mis en lumière le mal-être de toute une profession.

Elle ne peut contenir ses larmes à l’évocation de la première phrase de la lettre de Christine Renon. Véronique Decker, directrice d’école à Pantin (Seine-Saint-Denis) de 1994 à 2019, est débordée par l’émotion, en relisant les mots de la directrice d’école maternelle, qui s’est suicidée sur son lieu de travail. « Aujourd’hui, samedi, je me suis réveillée épouvantablement fatiguée, épuisée après seulement trois semaines de rentrée », avait-elle écrit dans un courrier de trois pages envoyé à sa hiérarchie et des collègues.

« Cette phrase est terrible, elle est extraordinaire parce qu’elle résume tout en quelques mots », juge la jeune retraitée, qui a longuement milité au sein de Sud-Education. Les obsèques de Christine Renon se déroulent jeudi 3 octobre, en même temps qu’une journée de mobilisation des directeurs et directrices d’école. Son geste a mis en lumière le profond malaise qui secoue la profession.

« Dire que je me reconnais dans les propos de ma collègue est une évidence », lâche Fabrice*, directeur d’une école de six classes dans le sud-est de la France, à franceinfo. Il parle d’« un malaise généralisé ». Pour ce trentenaire non syndiqué, il n’est pas étonnant que Christine Renon évoque son état de fatigue élevé, aussi tôt dans l’année scolaire.

« Septembre, le mois de l’apnée »

« La rentrée d’un directeur d’école se fait rarement à la date de pré-rentrée officielle fixée par l’Education nationale », explique Fabrice. Dès mi-août, il s’agit de « préparer la réunion avec les collègues, gérer les inscriptions tardives, préparer les documents à remettre aux familles, travailler les plannings de réunions, de surveillance, d’utilisation des locaux, etc. », liste le directeur. Ce n’est pas tout. Il faut aussi se coordonner avec la municipalité pour « les imprévus de l’été, comme des travaux en urgence, remettre en état les locaux s’ils ont été utilisés. »

Puis vient septembre. « Le mois de septembre est, pour un directeur, celui de l’apnée », selon Fabrice. Ghislaine*, directrice d’une école de trois classes dans le Sud-Ouest, confirme. « En début d’année, il faut rentrer toutes les fiches dans le système informatique : il faut vérifier tous les numéros de téléphone, toutes les adresses… Cela prend un temps fou. Septembre-octobre, jusqu’aux vacances de la Toussaint, c’est vraiment compliqué », raconte la quadragénaire à franceinfo, qui n’est plus syndiquée depuis quelques années, après avoir longtemps été au Snuipp.

Au menu de la rentrée, Fabrice mentionne également tous les plans et mesures relatifs à sécurité, avec des documents à remplir en version papier et numérique.

Mais au-delà de cette fatigue précoce, les directeurs d’école interrogés par franceinfo pointent, comme Christine Renon, l’accumulation de tâches et d’imprévus au quotidien, « la succession de toutes ces petites actions qui se surajoutent », selon Ghislaine.

Madeleine*, directrice d’une école privée sous contrat d’association dans les Hauts-de-France, évoque pêle-mêle « un conflit entre parents, des choses aussi banales qu’une sortie scolaire où il manque un accompagnateur et à laquelle je dois finalement aller, le manque de papier toilette que je dois aller chercher sur mon temps libre, ou une réunion à 50 km de l’école », compliquant la garde de ses enfants.

 

*Le prénom a été modifié

Source: franceinfo.fr


Si vous avez besoin d’aide, si vous êtes inquiet ou si vous êtes confronté au suicide d’un membre de votre entourage, il existe des services d’écoute anonymes. La ligne Suicide écoute est disponible 24h/24 et 7j/7 au 01 45 39 40 00. D’autres informations sont également disponibles sur le site du ministère des Solidarités et de la Santé.

Ou prenez rendez-vous avec un psy, qui saura vous écouter, et vous apporter des solutions à votre mal-être.

Voici des précieux conseils à ceux qui n’ont pas commencé et paniquent, comme à ceux qui veulent s’assurer des révisions productives et sans stress.

Quelles sont les principales difficultés évoquées par les élèves pour la première fois à deux semaines du bac ?

Ils ont l’impression qu’il est déjà trop tard.

Les révisions leur apparaissent comme une montagne, ils ne savent pas par où commencer. Je leur propose de reprendre les rênes, de redevenir le pilote dans l’avion.

Cela commence par avoir une vision de là où ils en sont. Matière par matière, manuel scolaire en main, nous regardons les têtes de chapitre : l’élève doit se projeter en se demandant : serais-je content de tomber là-dessus à l’épreuve du bac ?

Nous faisons trois colonnes, avec les chapitres qu’il faut juste revoir (une lecture en diagonale suffit), ceux qu’ils ont besoin de véritablement réviser, et ce qu’ils ont à apprendre. Cette sorte d’état des lieux est déjà apaisant.

Comment définir les matières à privilégier ?

A J – 15, l’heure n’est pas à la perte de temps, il faut raisonner en stratège. Nous regardons les bulletins de note du deuxième trimestre, les devoirs sur table du troisième.

On cible les matières les plus productives : par exemple, en langues, un élève que j’accompagnais avait 6 en espagnol et 13 en anglais. On a préféré miser sur le bon cheval, et chercher à optimiser sa bonne note d’anglais.

Il est aussi important de faire en sorte d’obtenir une note correcte dans les matières à fort coefficient. On a décidé de ne pas ou peu accorder de temps aux matières qui sont des points forts et aux faibles coefficients.

Il est très important, avec un élève noyé par l’ampleur de la tâche, de trier et hiérarchiser. On définit alors un planning, qui met d’abord l’accent sur ce qu’il y a à apprendre, puis sur les révisions et enfin sur la réactivation des savoirs les mieux maîtrisés.

Et il est souhaitable d’afficher ce planning.

Que conseillez-vous aux élèves qui ont du mal à se mettre au travail ?

Tout d’abord, de définir un lieu de travail qui n’est pas leur chambre. Voilà une génération pour laquelle l’ennemi numéro 1 est la solitude, et pour qui la chambre est l’endroit de trop de tentations.

Si l’on travaille à la maison, la cuisine ou la salle à manger sont souvent appréciées. Ils disent : « Il faut que je travaille là où il y a quelqu’un. » Ils ont un mal fou à s’y mettre seul. Beaucoup de parents mettent leur enfant en internat, la – ou les – dernières années avant le bac, avec une certaine efficacité, car ce genre de structure fixe un cadre de travail.

On voit aussi des parents envoyer leur enfant chez un oncle ou une tante aux vacances de printemps qui précèdent le bac, pour qu’il y ait du monde. Voyez aussi le succès des structures d’accompagnement ou du coaching scolaire, qui montre bien cette difficulté à être seul.

Il est donc bienvenu de préparer son bac hors de chez soi ?

On n’a jamais vu autant de lycéens et d’étudiants silencieux et sans portables dans les bibliothèques et les médiathèques, à l’étage réservé à l’étude. Ils ont besoin d’une ambiance de travail, de voir d’autres qu’eux travailler.

Avec un lycéen que j’accompagne, on a décidé qu’il se rendrait sur le lieu de travail de sa mère : il s’agit de journées cadrées, avec des horaires, une pause déjeuner. Il est important d’avoir une journée structurée, avec des rituels, des horaires fixes, y compris pour manger.

Pour ne pas être seul, le travail en groupe est-il adapté ?

Si, au-delà du quadrinôme, le travail en groupe fonctionne moins bien, le principe du binôme ou du trinôme est idéal. Une vraie dynamique se crée. Cela permet de se confronter à la réflexion de l’autre sur un sujet de philo par exemple.

Voyez le succès des TPE (travaux personnels encadrés) : les élèves ont d’excellents résultats car cela les motive de travailler à deux ou trois. L’habitude d’être connecté à son réseau contribue à la difficulté à être seul, le groupe est une réponse.

Comment organiser une journée de révisions ?

On fait le maximum le matin.

Après le déjeuner de midi, on a moins d’énergie, mieux vaut alors faire des exercices que d’apprendre, se concentrer sur des choses concrètes et pratiques avant de se consacrer de nouveau au réapprentissage. Après 21 heures, il ne faut plus aborder des sujets complexes. Je ne dirais pas la même chose à des étudiants du supérieur, mais à l’âge du bac, c’est préférable.

On définit des plages de 1 h 30 de travail, suivies d’une pause. Le cerveau se dit qu’il peut travailler intensément car il s’agit d’un temps borné, balisé.

Il est contre-productif de se dire : il est 9 heures, je commence et je verrai bien jusqu’où je vais.

Pour être efficace, il faut donc s’assurer des pauses ?

Au Québec, une expérience a comparé les résultats de deux groupes d’enseignants qui devaient corriger des copies. L’un des deux groupes s’est vu proposer de se retrouver pour un café quelques heures plus tard. A l’heure du café, les professeurs du groupe témoin avaient corrigé 30 % de copies en moins que celui à qui on avait fixé un rendez-vous. Cela montre l’importance de s’imposer des perspectives.

Deux lycéennes me disent qu’elles ont décidé de mettre leurs portables dans une autre pièce jusqu’à 16 heures, puis de s’accorder une « pause réseaux sociaux ». Pour les aider, certains jeunes demandent à leurs parents de fixer un cadre.

N’est-il pas souhaitable de se plonger dans une matière pendant tout un après-midi ?

Non, mieux vaut alterner les matières que l’on révise.

En revanche, il est très utile de faire des sujets-types dans le temps de l’épreuve, dans les matières les plus cruciales et dans les conditions du réel, par exemple s’accorder les quatre heures de l’épreuve de sciences économiques et sociales, qui a le plus gros coefficient du bac ES.

Une étude a montré que les élèves obtenant des mentions très bien sont aussi ceux qui s’entraînent plus qu’il ne leur est demandé dans le cadre scolaire.

A J-30, est-il temps de rédiger des fiches de révision ?

C’est un peu tard : on peut faire des mind maps, des cartes mentales.

On prend une feuille au format paysage, on écrit au centre la tête de chapitre, autour les sous-chapitres, puis des dates, des personnages ou notions. On peut consulter des cartes existantes (il y en a beaucoup sur Internet) ou, idéalement, construire la sienne.

Je conseille de stabiloter ses cours, fiches et mind maps avec un même code couleur pour bien retenir ; du jaune pour les gros titres, du rose pour les choses moins importantes, du bleu pour les dates, les personnes…

Sommeil, sport, relaxation…, que recommandez-vous ?

A leur âge, il faut se coucher à 22 h 30 au plus tard, car c’est avant minuit qu’ils auront la meilleure qualité de sommeil, grâce au sommeil profond réparateur. Ceux qui se couchent tard sont souvent les mêmes qui demandent des compléments alimentaires et des vitamines, qui sont à proscrire : j’ai vu des candidats arriver à l’épreuve avec trop d’énergie.

Faire du sport est important. La natation est idéale, car elle permet de se vider. Il est essentiel de se défouler. Dans cette phase, évacuer le stress par l’activité physique me paraît plus important que de se consacrer à la relaxation.

Quelle attitude adopter vis-à-vis de l’entourage, familial et amical ?

Attention à qui vous fréquentez dans les quinze derniers jours. Découragez ceux qui vous découragent ! C’est-à-dire les copains ou les membres de la famille qui vous disent : « Mais tu n’en es que là ! » N’entrez pas dans le conflit, répondez simplement : « C’est ce que tu penses, mais moi, j’avance. »

Parents, veillez à ne pas lancer de petites phrases assassines : « Mais tu n’es pas en train de réviser là ? » Candidats, informez votre entourage : « J’ai quinze jours, j’ai besoin d’être zen, je propose que l’on parle de tout à table sauf de mon bac. » Prévenez-les aussi que si vous avez besoin d’eux, vous leur demanderez.

Les parents peuvent prendre les devants et dire : « Je te fais confiance, si tu as besoin d’aide, c’est toi qui viens me voir. »

Crises de tétanie, attaques de panique, malaise vagal, angoisses…

Vous, peut-être ?

La spasmophilie, qui concerne environ 20 % de la population des pays occidentalisés, reste un concept mal défini par la médecine officielle.

Spasmophiles  Libérez vos émotionsHypersensibles, c’est ainsi que l’on peut avant tout caractériser les personnes concernées.

Hypersensibles à leur environnement physique et psychologique.

Parce que les spasmophiles maintiennent prisonnières leurs émotions, ne s’autorisant pas à lâcher prise et à laisser libre cours à leurs talents, leur créativité, leurs penchants naturels…

Les symptômes de la spasmophilie pourraient être comparés aux vapeurs qui s’échappent de la cocotte-minute pour l’empêcher d’exploser. Ce sont des signes annonciateurs à prendre en compte pour ne pas les laisser évoluer vers une maladie chronique dont il sera plus difficile de se relever.

Le rythme de vie trépidant des pays occidentalisés ainsi que l’évolution des modes de vie et de notre nutrition, multiplient les risques d’une manifestation de la spasmophilie.

Pour le Dr Dupire, cette maladie résulte d’un conflit entre le corps sensoriel et l’esprit chez une personne hypersensible sur les plans physique, émotionnel et psychologique.

Dans son nouvel ouvrage, il tente de donner à chacun les clés pour résoudre ce conflit et reprendre en main les rênes de sa santé.

Il propose et analyse différents moyens permettant de rééquilibrer l’état spasmophile, dont : la stimulation sensorielle, la sophrologie, la nutrition, l’homéopathie, la méditation…

A lire !

Pour lire des extraits de cet ouvrage : http://fr.calameo.com/read/0014755635df7b3518ec8

Qui est l’auteur ?

Jean Dupire est médecin homéopathe, nutritionniste, co-fondateur de l’association Pommes et Sens. Il est également à l’origine de la méthode « spiruline-poisson » et de recherches sur la malnutrition. Il a fondé en 1991 l’association humanitaire NSB (Nutrition Santé Bangui) dont il est directeur de projet.

Auteur de plusieurs livres sur la nutrition, La Spiruline : un Superaliment, Le régime plaisir avec la méthode Pommes et Sens, Le goût retrouvé d’une alimentation saine, Objectif : Malnutrition.

Source : « Spasmophiles ? Libérez vos émotions !« , du Dr Jean DUPIRE, éditions Mosaique-Santé

1/ Avec des arguments instinctifs : ce qui peut assurer la survie physique et psychologique dans le présent, choisir d’agir ou non, changer ou non, énergie vitale, créativité dans l’action, etc.

2/ Avec des arguments émotionnels : répondre aux désirs, besoins, ceux des autres, relations aux autres, l’instant présent, etc.

3/ Avec des arguments mentaux : analyse, choix, décisions, plans, projets, futur, etc.

 

 

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100 % : CE QUE J’AI VOULU DIRE

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Bon courage… !

 

Voici six facteurs qui peuvent contribuer à mener au burnout

Pour vous, c’est quoi ?

  • la surcharge de travail ?
  • le manque de contrôle sur le travail ?
  • les récompenses insuffisantes ?
  • les problèmes dans la communauté de travail, tels que l’incivilité et le manque de soutien entre collègues ?
  • l’injustice, tels que les inégalités de salaires, de promotions ou de charge de travail ?
  • le conflit entre ses valeurs personnelles et les exigences d’un emploi ?

Les individus peuvent utiliser des stratégies utiles pour faire face : dormir suffisamment, faire de l’exercice et bien manger, être attentif à réguler ses rythmes et très concentré sur ce que l’on veut accomplir sur à long terme.

Mais il y a la question de l’injustice (quand toute une partie de la société qui ne semble pas travailler très dur reçoit beaucoup de récompenses, et qu’une autre est de plus en plus sous pression). Cela ne se réglera pas avec une séance de pleine conscience… !
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Les femmes pleurent davantage, plus longtemps et avec moins de retenue que la gente masculine, selon une étude allemande parue mercredi, qui relève que la fonction des pleurs reste un mystère.

Les femmes pleurent de 30 à 64 fois par an contre 6 à 17 fois pour les hommes, une différence qui n’apparaît qu’à l’adolescence, selon une étude de la société allemande d’ophtalmologie (DOG).

Jusqu’à 13 ans, filles et garçons pleurent à peu près autant. Après cet âge, les hommes pleurent moins en termes de fréquence et d’intensité que les femmes. Et pas pour les mêmes occasions, selon la DOG qui a compilé différentes études scientifiques sur le phénomène.

Ils versent des larmes en moyenne entre deux et quatre minutes tandis que les femmes les font couler pendant six minutes.

Les pleurs consistent en des sanglots chez 65 % des femmes contre 6 % des hommes. « Les pleurs féminins durent plus longtemps, ont un caractère plus dramatique et davantage à fendre le cœur », affirme le professeur Élisabeth Messmer de la clinique ophtalmologique de l’Université Ludwig-Maximilian à Munich. Les femmes fondent en larmes le plus souvent lorsqu’elles se sentent « pas à la hauteur », lorsqu’elles sont confrontées à des conflits difficiles à régler, ou lorsqu’elles se remémorent des épisodes de vie passés, a constaté la DOG.

En revanche, les hommes pleurent souvent par compassion ou en cas d’échec d’une relation.