Très en vogue actuellement, le « néo-chamanisme » est davantage centré sur l’individu que sur le groupe.
« Il ne s’agit plus d’une relation à la communauté comme le concevaient les chamanes sibériens », explique Jean-François Dortier, sociologue et directeur du magazine Sciences humaines.
« C’est une récupération de cette religion que l’on dit primitive, sous une forme plus personnelle de quête de soi » et à laquelle « chacun donne un sens particulier. »