F. Duval-Levesque psy, hypnose, psychopraticien et coach (Toulouse)


Ne cherchez pas votre vocation, mais des buts utiles !

Comme je l’ai écrit dans l’article datée du 26/03/2023, les biais cognitifs sont à l’œuvre, mais ce n’est pas pour autant qu’il n’est pas judicieux de suivre l’élan de son cœur et chercher sa vocation :

exercer un métier avec passion et enthousiasme,

être mû par une motivation intrinsèque sans faille,

qui n’en rêve pas ?

De fait, une étude portant sur environ 5 000 cadres et employés portant sur leur activité professionnelle révèle que la passion au travail est un élément clé pour en retirer de la satisfaction.

Jusque-là, rien d’étonnant.

Mais l’étude aborde une autre dimension capitale : l’impression que notre travail compte, c’est-à-dire qu’il remplit un but utile. L’inverse de la plainte récurrente lors de certaines activités : à quoi ça sert ?

Les auteurs, le professeur Morten Hansen et son équipe à l’université de Berkeley, ont produit un classement des performances de ces salariés, telles qu’évaluées par leurs supérieurs. Sans surprise, les employés cotant haut sur les échelles de passion et d’utilité occupent le haut de la distribution (ils ont de meilleures performances que 80 % de leurs collègues), alors que ceux qui ne trouvent ni intérêt ni plaisir à leur tâche sont relégués au bas du classement (ils sont parmi les moins performants).

Les buts utiles se cultivent tout au long d’une carrière, et ceci dans tous les secteurs professionnels, quels qu’ils soient.

Le résultat novateur provient des deux cas croisés : qu’en est-il des travailleurs qui ne trouvent pas de plaisir à leurs tâches, mais y voient une réelle utilité ?

Sont-ils mieux classés que ceux qui travaillent avec passion, mais sans y déceler de finalité ?

Le verdict est sans appel, puisque les employés passionnés par leurs tâches mais qui n’y perçoivent pas une grande utilité se situent aux alentours dans le premier quart inférieur, alors que ceux qui n’y prennent que peu de plaisir mais y voient une vraie utilité s’élèvent au-dessus du tiers supérieur.

La conclusion semble claire, le but l’emporte sur la passion.

On est meilleur dans ce qu’on fait, lorsqu’on sait que cela sert à quelque chose,

plutôt que lorsqu’on aime cela.

Trouver un sens plus que du plaisir…

Un tel résultat se laisse également mettre en évidence lors d’études de terrain.

C’est ainsi que, dans une étude réalisée par Adam Grant à l’université de Caroline du Nord en 2008, des maîtres-nageurs ont été soumis à des textes mettant en évidence, pour un premier groupe, les belles émotions et les profits qu’ils pouvaient tirer de leurs compétences dans leur vie personnelle et, pour le second, l’utilité pour le sauvetage de baigneurs. Suite à cette manipulation, les membres du deuxième groupe se sont portés volontaires pour 43 % d’heures de travail supplémentaires les semaines suivantes.

Se sentir utile, cela compte et cela motive, apparemment plus que le seul plaisir.

Ainsi, chercher à tout prix sa vocation ne semble pas un conseil forcément judicieux à donner aux jeunes diplômés.

Ni viser essentiellement la passion pour son futur métier, à savoir l’exercer avec force émotions agréables et sentiments de réalisation personnelle.

Car encore faut-il trouver cette vocation, à supposer qu’elle existe bel et bien.

En revanche, les buts utiles se cultivent tout au long d’une carrière, et ceci dans tous les secteurs professionnels, quels qu’ils soient.

Comme le montre l’étude du professeur Hansen, le sentiment d’utilité n’est pas réservé aux seuls milieux des soins ou des enseignants. Et il donne la force d’avancer, de continuer et de se réaliser. En effet, il nourrit une forte motivation intrinsèque, elle-même associée au bien-être général.

Et vous, vous sentez-vous utile dans votre travail ?

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Léa Poujol - Hypnose & Thérapie

Le syndrome de l’imposteur est un sentiment auto-entretenu d’incompétence et de doute en sa personne, en ses compétences et en ses capacité. Cette tendance psychologique de doute et de remise en question permanente persiste malgré les succès.

Ce sentiment de ne pas être à sa place, de ne pas mériter sa place, résulte d’un conflit entre la perception que l’on se fait des autres et la façon dont on se perçoit soi-même.

La personne sujette au « syndrome de l’imposteur » vit dans la crainte d’être « démasquée », que les autres personnes s’aperçoivent qu’elle n’est si compétente qu’ils le croyaient. 

Les conséquences peuvent être différentes chez les personnes concernées:

  • elles peuvent se réfugier dans un travail acharné et, à vouloir atteindre la perfection, elles s’épuisent à la tâche pour se prouver qu’elles méritent leurs succès (risque de burnout). Ces constants efforts de surpassement de soi renforcent le sentiment d’incompétence de départ…

Voir l’article original 175 mots de plus

Connaissez-vous le point commun qui relie les orateurs, pourtant d’horizons fort divers, invités à prendre la parole lors des traditionnels remises de diplômes ?

« Trouvez votre vocation, disent-ils, afin que votre métier devienne source de réalisation personnelle. Faites ce que votre cœur vous enjoint plutôt que de vous laisser guider par des considérations matérielles et financières. » Il est vrai que les orateurs invités sont exclusivement des modèles de réussite dans leur domaine – sinon ils ne seraient pas là –, ce qui semble valider leurs propos.

Mais est-ce vraiment une bonne idée que d’écouter son cœur, et chercher sa vocation à tout prix ?

Que peuvent nous apprendre les recherches scientifiques en la matière ?

Le premier élément concerne, non pas le fond de la question, mais la forme de la réponse : des témoignages de réussite. Il est sans doute motivant d’entendre des personnalités raconter comment elles ont quitté un job alimentaire pour suivre leur passion et connaître le succès.

Mais c’est sans compter avec tous les malheureux qui se sont lancés et n’ont pas réussi, n’est-ce pas ?

Seuls les vainqueurs montent sur l’estrade, rarement les vaincus de la vie. Il y a donc clairement un biais de sélection de l’information.

Pour un jeune Bill Gates bidouillant des ordinateurs dans sa cave, combien de bricoleurs passionnés mais au final désargentés ?

Pour une Amélie Nothomb au firmament des succès littéraires, combien de romanciers dont seuls la famille et les amis deviendront les seuls lecteurs ?

Suivre sa passion pour connaître la consécration : une exception plutôt que la règle générale, donc.

Et toutes ces personnes qui proclament avoir toujours su ce qu’elles allaient devenir : agriculteur, enseignant, vétérinaire, avocat, maman d’une famille nombreuse, etc. Qui assurent qu’elles se sentaient appelées vers cette destinée…

Une histoire sans doute plus séduisante que celle qui consiste à errer de conseillers d’orientation en stages découverte, pour se frayer laborieusement une voie dans la jungle professionnelle !

Il n’est évidemment pas question de mettre en doute l’intégrité de ces personnes.

Mais simplement de rappeler les effets des biais cognitifs – encore eux – sur la pensée. Et ici, le biais dit d’à posteriori semble avoir laissé sa marque : après coup, il est facile de reconstruire l’histoire en fonction de ce que l’on sait dans le présent.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

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Il n’existe pas de drogués heureux.

Non, vraiment pas .

Ils vivent dans un enfer qui se nomme :

  • alcool
  • amphétamine
  • héroïne
  • nourriture
  • sexe
  • jeux
  • votre produit addictif

Tout un arsenal destiné à tromper cette chose appelée :

  • ennui
  • solitude
  • souffrance
  • impossibilité d’accepter la vie telle qu’elle se présente
  • votre raison

On s’étourdit d’expédients pour pallier un :

  • manque d’amour
  • manque d’attention
  • masquer une blessure
  • briser le cercle infernal de la monotonie
  • donner à l’âme de quoi s’exalter.

Une fuite hors de soi

qui commence par la prise inopinée d’un rail de cocaïne,

pour finir dans une orgie de drogues

où se dissout la vie ou ce qu’il en reste…

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Duval-Levesque, psy, emerveillement, sagesse, beauté, changement, hypnose profonde

« La sagesse

commence dans l’émerveillement »

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Socrate

Et s’il était temps pour vous de quitter votre poste, voire même de changer de voie ?

« Ce n’est pas le bon moment

Je ne trouverai jamais mieux

C’est la crise

Mon job n’est pas si mal que ça », etc.

Les excuses pour ne pas quitter votre job, qui ne vous plaît plus, ne manquent pas, j’en suis convaincu.

Pour beaucoup, l’aspiration au changement restera un doux fantasme.

Si vous ressentez des frustrations, si vos besoins ne sont plus comblés, prenez le temps de la réflexion. Cela ne sera jamais du temps perdu.

Attention ! Le changement n’a pas besoin d’être radical pour que vous vous sentiez mieux. Il peut s’agir de changer d’entreprise ou de secteur, de développer une deuxième activité, etc.

Voici les 7 signaux qui doivent vous faire réfléchir.

Le 8ème, c’est le vôtre.

1/ Vous êtes de moins en moins motivé

La baisse d’enthousiasme est un vrai signal.

Au quotidien, cela peut se traduire par de l’ennui, un manque d’envie et d’énergie. Passer son temps à regarder sa montre, surfer sur Internet comme on errerait dans la rue, rallonger ses pauses, mettre une heure à boucler un dossier qui ne demandait que quinze minutes…

Le bore-out peut vite être source de souffrances et devenir aussi mauvais pour la santé que le burn-out.

2/ Vous n’êtes pas satisfait de vos relations de travail

Votre job peut vous passionner, mais si vous n’êtes pas ou plus en phase avec vos collègues et/ou vos supérieurs, il se peut que cela vous mine considérablement.

Pour reprendre la pyramide de Maslow, le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu. On a tous besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels on évolue, notamment au travail. On se définit aussi par rapport à ces relations. Ainsi, quand vous ne vous reconnaissez plus dans la culture véhiculée par votre entreprise, par les valeurs de votre hiérarchie ou que vous ne vous ressentez plus reconnu par le groupe, il est temps d’aller voir ailleurs !

Une entreprise plus familiale ? Un grand groupe ? Une start-up ? Il y a 1001 manières d’exercer le même poste, à vous de voguer vers une ambiance qui vous conviendra davantage.

3/ Les maux du corps

Boule au ventre, sommeil altéré, palpitations sur le trajet… Lorsque votre corps commence à envoyer des signaux d’alerte, aussi légers soient-ils, il est opportun de prendre du recul. De commencer à faire le point, afin d’identifier s’il s’agit d’un malaise passager ou d’une crise plus profonde nécessitant un changement de job, voire de voie.

Si dès le dimanche soir ou lundi matin, vous ressentez un début de stress, ce n’est pas bon signe. La limite intervient lorsque le corps « parle », et appelle au changement. A partir du moment où vous commencez à somatiser, quand vous en avez plein le dos, quand vous ne « digérez » plus ce que vous faites… jusqu’au burnout, il est plus que temps de bifurquer vers un autre chemin, plus en accord avec vos valeurs.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, téléséance, téléconsultation, avis, témoignage4/ Vous vous dites que votre travail manque de sens

Vous pouvez avoir une situation professionnelle très confortable, enviée par beaucoup, mais qui au final, ne remplit pas votre besoin de vous accomplir.

Sortez d’une condition purement matérielle pour atteindre votre épanouissement.

C’est ainsi que Marie Treppoz, directrice marketing dans un groupe du Cac 40 a quitté son poste pour donner plus de sens à son travail. Afin de se sentir davantage utile, elle a fondé Welp, un site d’entraide gratuit entre particuliers.

5/ Les gens bien dans leur job vous énervent

Pierre gravit les échelons dans son entreprise, Annabelle vante la bonne entente avec ses collègues, Stéphane et Inès sont ravis de leurs nouvelles missions… Et vous, leur bonheur vous pèse !

L’aigreur, voire la jalousie, envers les proches heureux au travail sont des signaux fréquemment rencontrés chez les insatisfaits au travail. Ils témoignent d’une frustration ou d’un mal-être par un effet miroir.

6/ Vous attendez les jours off avec une attente démesurée

Combien de jours vous reste-t-il à « tenir » avant vos prochains congés ?

Si vous vous posez régulièrement cette question, ce n’est peut-être pas anodin… Une cliente que j’accompagne me disait en ces termes : « J’attends les week-ends et les vacances pour avoir vraiment l’impression de vivre ». S’il est évident que presque tout le monde attend les jours de repos avec impatience, les attendre de façon démesurée en ayant l’impression de mettre sa vie entre parenthèse les jours de travail, témoigne d’un véritable problème.

7/Une petite voix vous dit…

Si au fond de vous, vous avez cette petite voix intérieure qui vous envoie des pensées, des désirs de changement, ne la mettez surtout pas de côté. Ce n’est rien d’autre que votre intuition et elle ne se trompe rarement. Ecoutez-la et autorisez-vous à faire un premier pas vers le changement.

Même si vous êtes bon dans votre travail actuel et qu’il vous paraît « confortable », gardez en tête que vous excellerez dans ce que vous aimez faire. Ne vous résignez jamais. Il est possible de changer de boulot et même de voie à tout âge.

Autorisez-vous à devenir pleinement vous-même, vous avez le droit de vous éclater dans votre travail !

Le travail peut et doit être un moment d’épanouissement : lorsque vous êtes pleinement aligné avec ce que vous faites, vous êtes heureux d’aller travailler.

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Les symptômes physiques

  • fatigue persistante
  • douleurs musculaires et articulaires
  • maux de tête, migraines
  • troubles du sommeil
  • infections plus fréquentes (rhume, grippe…)
  • problèmes de peau
  • déséquilibres hormonaux
  • perte ou gain de poids
  • troubles digestifs (dont ulcère d’estomac)
  • troubles cardiovasculaires (hypertension, palpitations)

Les symptômes psychologiques

Troubles émotionnels :

  • irritabilité, nervosité, colère, frustration
  • anxiété, inquiétude
  • tristesse, désespoir, pensées suicidaires
  • démotivation, indifférence, désintérêt
  • pessimisme, sentiment d’échec
  • baisse de l’estime et de la confiance en soi

Troubles cognitifs :

  • distraction, déconcentration, erreurs
  • troubles de la mémoire, oublis

Troubles du comportement :

  • addictions (alcool, tabac, café, somnifères, anxiolytiques…)
  • retrait, repli sur soi, agressivité
  • manque d’initiative, retards, absentéisme
Enfin, il existe trois dimensions au burnout :

  1. L’épuisement émotionnel : les symptômes physiques et psychologiques apparaissent, la personne victime de burn-out se sent vidée, tout lui paraît insurmontable, toutes les tâches deviennent des corvées… elle n’a plus de projets, et est incapable de se projeter dans l’avenir
  2. La dépersonnalisation ou déshumanisation : la personne se désinvestit de la relation à l’autre, perd son empathie à l’égard d’autrui, en particulier à l’égard des collègues et des clients ou patients, devient agressive, froide, cynique
  3. L’autodépréciation et la diminution de l’accomplissement personnel : un sentiment d’échec professionnel et personnel s’installe, le travail n’a plus de sens, la victime de burn-out se sent coupable, doute de sa valeur, perd sa confiance en soi, son estime de soi.
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Le burn-out est parfois confondu avec la dépression.
F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, traumatisme, peur, tabac, phobie, souffrance, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignageS’il existe des points communs (repli sur soi, irritabilité, angoisses, crises de larmes, troubles psychosomatiques…), les différences sont importantes :

  • le burn-out vient toujours d’un stress chronique alors que pour la dépression, ce n’est le cas qu’une fois sur deux
  • le burn-out concerne l’activité professionnelle, la dépression concerne tous les domaines de la vie.

Le burn-out est donc un processus de dégradation lié au rapport au travail.

 Le burn-out peut toutefois évoluer en dépression !

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L‘épuisement professionnel (burnout en anglais) désigne un état de fatigue intense à la fois physique, mental et émotionnel.
 
Il résulte d’une exposition prolongée au stress, sur le lieu de travail.  
 
 
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Arrivée à saturation, la personne victime de burn-out ressent une fatigue intense accompagnée de symptômes psychosomatiques.
 
Ils peuvent se révéler sérieux à long terme, ainsi que des effets émotionnels comme la baisse de l’estime de soi, l’anxiété, la tristesse et le désespoir.

Le terme anglais burnout vient du verbe « to burn out » qui signifie au sens propre griller ou se consumer.

Au sens figuré, ce terme signifie s’épuiser, s’user, s’éteindre. En effet, la personne atteinte de burn-out se sent vidée, démotivée. la moindre tâche lui paraît insurmontable et ne voit pas d’issue à sa situation.

Donc, la cause du burnout : un stress chronique au travail.

Si un tiers de la population souffre de stress, moins de 15% de la population a reçu un diagnostic de burnout (SPF, 2012).
 
Le taux réel est sans doute plus élevé en 2022 : certains ne se font pas diagnostiquer, d’autres le sont sous d’autres appellations car, ne l’oubliez pas, le terme burn-out est relativement récent.
 
 
 
 
 
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Vous avez le droit de ne pas être au top.

Ce n’est pas de la faiblesse, et ça ira mieux demain. Même si ce soir ce qui vous pèse semble insurmontable.
Si ce n’est pas demain, ce sera dans un mois.

C’est dit naïvement, mais c’est normal de flancher quand tout autour s’écroule.

C’est normal, même si ça persiste.

Ça ne veut pas dire que vous devez accepter ni apprécier cet état, ça veut juste dire que vous ne devez pas vous sentir coupable quand vous le ressentez.

Beaucoup de gens qui n’avaient jamais vécu de troubles de leur santé mentale se sentent depuis le début du covid déprimés, angoissés, ont des problèmes de sommeil, ou avec la foule.

Des choses jamais expérimentées avant.

Ou rechutent.

C’est normal que votre équilibre mental soit bouleversé. Nous naviguons à vue, nous avons perdu nos repères, et l’on ne sait pas quand nos vies reprendront leur cours. L’avenir est incertain, et c’est normal d’être perdu.

Vous avez le droit de l’admettre, au moins à vous-même.

Quand ça s’installe, il n’y a aucune honte à recourir à des spécialistes de santé mentale – comme il n’y en a concernant la santé physique.

Même si ce soir ce qui vous pèse semble insurmontable, un jour tout ira mieux.

Vraiment 🙂

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Depuis sa création au début des années 1990, le concept d’intelligence émotionnelle connaît un succès considérable.

En 1990, dans leur article fondateur « Emotional intelligence », les psychologues Peter Salovey et John Mayer définissent l’intelligence émotionnelle comme « une aptitude dont la fonction est de gérer ses sensations et ses émotions, ainsi que celles d’autrui, de les différencier les unes des autres et d’utiliser cette information pour guider ses pensées et ses actions ».

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Selon eux, 4 aptitudes la composent :

1 – La perception de ses propres émotions et de celles d’autrui. C’est la capacité d’identifier les émotions à travers leur expression physique (visage, discours…) et dans les productions humaines (musique, écriture…).

2 – L’utilisation des émotions au sein de l’activité de pensée. Le rôle de cette aptitude est d’utiliser les émotions pour se motiver, stimuler ses performances intellectuelles et créer.

3 – La compréhension des émotions. Il s’agit d’identifier les conditions d’émergence et de changement des émotions.

4 – La régulation des émotions. Cette aptitude a pour fonction de contrôler l’intensité et la persistance des émotions, et d’agir dans le but de favoriser leur apparition ou leur évitement.

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Voici le début d’un intéressant article de la psy Lea Poujol, dont j’ai assuré la formation :

Même si on en parle un peut plus chaque jour, le deuil périnatal reste un événement traumatisant très difficile à surmonter, qui touche un grand nombre de familles.

Il s’agit des pertes in utéro, des fausses couches, des interruptions volontaires de grossesse (IVG), des grossesses arrêtées (l’embryon ne présente plus signe de vie), des interruptions médicales de grossesse (IMG) et des décès à la naissance.

psy, Lea Poujol, Lauragais, grossesse-et-hypnose, deuil-perinatalDans la majorité des cas, ce sera le gynécologue qui posera le diagnostic et l’annoncera aux parents. C’est lui, en fonction de la problématique, qui expliquera la suite des étapes médicales en fonction du choix des parents.

Survient alors un mélange d’émotions, sentiments, questions, différent selon les situations et les personnes : tristesse, peur, culpabilité, incompréhension, solitude, sentiment de vide, angoisses, colère, sentiment d’impuissance, détresse,…

🌷L’hypnose est un outil important qui peut permettre de libérer

(cliquez ici pour lire la suite)

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Plutôt que des CDD d’aides soignants, si vous n’avez pas obtenu de master à l’issue de votre licence en psycho, vous pouvez préparer et présenter le concours d’entrée à l’IFSI (ou maintenant y candidater par Parcours sup) : votre profil y est recherché et apprécié.

Et vous aurez un métier avec des possibilités d’exercice variés.

Idem le diplôme en STAPS, qu’on retrouve aussi en IFSI (formation d’infirmier).

Des solutions existent ; bonne chance !

Coachs, et avocats spécialisés dans l’orientation, luttent contre le stress généré autour de la plate-forme d’admission postbac, dont la première phase d’inscription a commencé ce 18 janvier.

Sur le papier, rien ne l’y poussait tellement.

Mère d’une élève de terminale dans un lycée réputé de la région parisienne, avec d’excellentes notes dans toutes les matières, Elise le reconnaît volontiers : « Objectivement, nous n’avions aucune raison de nous inquiéter pour notre fille. » Pourtant, saisie d’une vive anxiété à l’approche des choix pour le postbac, cette cadre du secteur médico-social a décidé de payer les services d’une coach en orientation pour son enfant. « Un contexte hyperanxiogène entoure la procédure Parcoursup : on ne sait rien des algorithmes, j’avais peur qu’elle se retrouve sans aucun choix qui lui plaise vraiment », justifie-t-elle.

La mère de famille a entendu parler du coaching par quelqu’un de son entourage. « C’était une solution personnalisée et, dans la masse anonyme des élèves, c’était rassurant, souligne-t-elle. Concrètement, la coach a surtout fait un travail de liste de formations que j’aurais pu faire seule. Que ma fille puisse confronter ses idées m’a déstressée. »

Dans le lycée de sa fille, il y a bien des psychologues d’orientation ou des professeurs impliqués, mais elle craignait que cela ne suffise pas. « La compétition entre les élèves nous pousse à avoir recours au privé pour nous différencier, c’est regrettable », déplore-t-elle..

Dans ce processus d’orientation, il faut avant tout “se réaliser soi”. Le coaching scolaire en fait partie, Pour cela, il reprend beaucoup aux codes du coach en entreprise, avec une forme semblable à celle des bilans de compétences qui s’appuient sur un registre de la rhétorique de soi, de la confiance personnelle mais aussi de l’optimisation de ses atouts.

Isabelle, journaliste secrétaire de rédaction de 52 ans dans une commune moyenne des Landes, avait pour souci d’éviter que sa fille lycéenne « ne se trompe trop dès maintenant ». « En première, elle était sèche niveau idées. Cela me rendait très anxieuse, je me disais qu’il fallait anticiper, explique cette mère. Dans son lycée, la personne chargée de l’orientation devait s’occuper de trois établissements : ce n’était pas possible. »

Ce nouveau marché privé doit en partie son essor à la précarité des moyens publics : on ne compte en France, en moyenne, qu’un conseiller d’orientation pour 1 500 élèves dans le secondaire. « Cela assoit une sorte d’orientation à deux vitesses, inégalitaire socialement. Ce n’est pas anodin d’avoir l’opportunité de passer du temps à parler avec un adulte qui ne soit ni un parent ni un enseignant, dans une posture réflexive. Et tout le monde n’y a pas accès », constate Anne-Claudine Oller.

Mais avoir recours à ces différents services est aussi – et peut-être avant tout – un outil de réassurance pour les parents des classes moyennes et supérieures ciblées.

Selon les deux chercheuses, comme pour le coaching, les parents qui déposent des recours sont issus de milieux plutôt privilégiés et ce phénomène concerne plutôt des élèves ayant de bons résultats.

Mais tout ce marché de l’anxiété concerne aussi les classes moyennes : désignées initialement comme les gagnantes de la massification scolaire et de la méritocratie, elles sont rappelées à l’ordre par Parcoursup. Avec cette procédure jugée opaque et la médiatisation des injustices qui en résultent, il y a une peur du déclassement et donc la recherche d’acteurs externes pour y remédier.

Ces recours sont le signe d’un nouveau rapport à l’institution scolaire, plus facilement contestée, mais aussi de l’anxiété liée à l’incertitude de l’admission postbac. Cette velléité s’accompagne d’ailleurs régulièrement de suivis psychologiques, ou de la prise de médicaments contre le stress : la santé avant tout contre l’angoisse scolaire.

Le moment de l’accès au supérieur s’est peu à peu construit comme une étape cruciale de bifurcation sociale, un “one shot”, avec une seule chance.

Le stress est une réaction presque attendue, le signe qu’on est bien investi comme candidat : alors payer pour un service destiné à s’apaiser ou prendre des anxiolytiques paraît normal. La pression est forte dans les familles, qui se transforment en mini-entreprises de la constitution du dossier Parcoursup. C’est aussi un moment où les parents se retournent sur leur propre parcours.

Je vois arriver, dans mon cabinet, beaucoup d’états anxieux et dépressifs liés à cette conjonction de problématiques, avec prise de traitements.

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L’arrivée d’un bébé est un grand changement dans la vie des parents.

Parfois les émotions négatives prennent le dessus : fatigue, mal-être, déprime…

Le baby blues concerne 50 à 80 % des femmes qui accouchent, et 10 à 20 % des mères sont touchées par une dépression post-partum dans les semaines qui suivent l’accouchement. En cas de difficultés, il ne faut pas hésiter à en parler avec une professionnelle de santé (comme celle que je vous recommande en fin de mon article).

Depuis le 1er juillet, pour mieux accompagner les jeunes mères dans les semaines qui suivent la naissance, un entretien postnatal précoce leur est proposé systématiquement. Il peut être réalisé par une sage-femme ou un médecin entre la 4ème et 8ème semaine après l’accouchement.

L’objectif de cet entretien est :

  • de repérer les premiers signes de la dépression du post-partum (état dépressif ou anxieux, fatigue, humeur instable…)
  • d’identifier d’éventuels facteurs de risques qui exposent les parents à cette dépression (isolement, événement stressant…)
  • d’évaluer les éventuels besoins de la femme ou du couple en termes d’accompagnement.

Le professionnel de santé peut proposer un 2e entretien entre la 10e et la 14e semaine qui suivent l’accouchement, afin de continuer l’accompagnement s’il le juge nécessaire ou à la demande du ou des parents.

Cet entretien est pris en charge aux taux habituels (70 % par l’assurance maladie obligatoire).

En plus de l’entretien postnatal obligatoire décrit avant, une consultation postnatale est prévue dans les 6 à 8 semaines qui suivent l’accouchement. Cette consultation permet d’aborder divers thèmes : contraception, alimentation, troubles urinaires…. Elle est obligatoire et peut être réalisée par un médecin ou par une sage-femme. Cette consultation est aussi prise en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.

D’autres rendez-vous médicaux peuvent également être proposés selon l’état de santé de la jeune mère et de ses souhaits mais ils ne sont pas obligatoires :

  • un suivi à domicile par une sage-femme lors de la sortie de la maternité jusqu’au 12e jour de l’enfant par une sage-femme : ces séances sont prises en charge par l’Assurance Maladie à 100 %
  • 2 séances de suivi postnatal avec une sage-femme. Ces séances peuvent être réalisées, en cas de besoin, du 8e jour jusqu’à la 14e semaine après l’accouchement, au cabinet ou à domicile. Elles sont prises en charge par l’Assurance Maladie à 100 % jusqu’au 12e jour après la naissance et à 70 % au-delà
  • des séances de rééducation périnéale et abdominale, qui peuvent être prescrites après l’accouchement. Ces séances sont prises en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.
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-> Si vous vous reconnaissez dans cet article, je vous recommande la psychopraticienne Léa Poujol. Mailez-lui ou appelez-la pour tout conseil de bien-être dont vous auriez besoin :
Tout finira par s’arranger 🙂

Pour eux, Noël est un cauchemar.

Ils sont « Noëlophobes ». Un néologisme évocateur pour désigner la peur de ce rituel de fin d’année plus connue sous le nom de « natalophobie ». Une peur, une angoisse même pour certains.

Explications et conseils pour rendre la fête plus digeste.

La vue de sapins, décorations de Noël et autres joyeusetés vous angoisse ?

Rien qu’à la pensée du réveillon du 24 vous êtes pris de sueurs froides ?

Vous êtes paralysé devant la liste interminable des cadeaux familiaux ?

Ne cherchez plus : vous êtes peut-être atteint de « natalophobie » une pathologie avérée et reconnue par les professionnels de santé mentale. « J’en rêve la nuit, raconte Lenda, 41 ans, professeure. Et si les cadeaux ne plaisaient pas ? Que faire à dîner ?  Mes beaux-parents seront-ils là ? Et si tout le monde réglait ses comptes ? Noël est un cauchemar. »

Pour certains, Noël est un moment si heureux qu’il est paradoxalement source de tristesse : la magie, le sacré, la joie les renvoient à la fadeur de l’existence le reste de l’année. Voire d’angoisse bien réelle. Mais, pour la grande majorité des “noëlophobes”, cette fête est anxiogène avant, pendant et après. Ce n’est toutefois pas une phobie au sens pathologique du terme puisqu’on ne constate pas de stratégies d’évitement.

« Je suis sous pression »

La pression collective est très forte. Elle exige un investissement, en termes de temps, d’argent, de réflexion, de préparation, qui vient nous toucher dans nos enjeux narcissiques (vais-je y arriver ?) et relationnels (comment les autres vont-ils me considérer ?). Si notre confiance en nous est fragile, les injonctions sociales et familiales de réussite finissent par nous déprimer. Et nous intégrons le fait qu’on ne badine pas avec Noël.

C’est le dernier rituel sacré. On ne peut pas y déroger, contrairement à Pâques ou aux anniversaires, qui ne font plus l’unanimité. Boycotter le réveillon? La transgression est trop dangereuse : on serait une mauvaise personne, presque un hérétique !

Noel, non« Je suis tiraillé par des conflits »

Noël, c’est aussi une succession de tiraillements intérieurs, sources de grande culpabilité.

Ce rituel d’appartenance permet de réaffirmer des liens. Et de se rassurer. Parce que nous avons une place et un rôle dans une famille, nous existons.

1- Seulement, notre société individualiste prône a contrario l’autonomie et la liberté. Premier conflit psychique.

2- La temporalité. Au moment des fêtes, on doit ralentir, prendre son temps et savoir attendre (les invités, la cérémonie, le repas, les cadeaux…). Or, pressés tout au long de l’année, soumis au culte de l’urgence, nous avons perdu l’habitude de décélérer. Deuxième conflit.

3- Et puis, il y a cette dichotomie entre le désir de l’individu, ses aspirations, son besoin de sens et le rouleau compresseur que peuvent représenter ces festivités. On offre ses cadeaux, on déguste la bûche. Mais… pour quoi faire, se demande-t-on intérieurement ? Troisième conflit.

« Je dois jouer le jeu »

Les retrouvailles familiales sont aussi ce moment dans l’année où nous revêtons notre plus beau « costume ». C’est la trêve imposée : on n’aborde pas les sujets qui fâchent.

Se forcer à sourire, à faire plaisir, cela crée un sentiment de frustration évident. Pour le bien du groupe, on est tenus de refouler des contenus psychiques parfois douloureux. Sois heureux et tais-toi. La “fête des enfants” nous renvoie justement à une posture d’enfant : nous campons un personnage (celle qui s’occupe de tout, celui qui n’est jamais content) et ne sommes plus nous-mêmes. Cette régression nous déséquilibre puisque nous trahissons l’adulte que nous sommes par ailleurs. Et si nous tentions de l’être, le 25 décembre prochain ?

Que faire ?

Changer ses habitudes
Essayez la légèreté, d’oser modifier vos habitudes. Vous n’êtes pas obligé de vous conformer au rituel. Ce n’est pas une question de vie ou de mort. Demandez-vous ce qui vous ferait vraiment plaisir cette année : un petit voyage, une soirée au théâtre ? Il s’agit de redonner du sens à la fête en s’éloignant du consumérisme. C’est une occasion de (re)tisser des liens agréables..

En parler avant
Rencontrer individuellement ses proches avant le jour J. Ces retrouvailles moins solennelles leur ôtent leur part d’étrangeté. Il conseille aussi d’oser parler pour éviter la frustration pendant les fêtes. Si vous n’approuvez pas les réflexions de tonton Georges, dites-lui que, selon vous, ce n’est pas le bon moment pour les exposer.

S’interroger sur soi
Noël vient questionner le rapport que l’on entretient avec sa  famille. Vous sentez-vous libre et autonome ? Ou enfermé dans les injonctions de vos proches ? Quelques séances chez un psy peuvent vous aider à mieux comprendre ce qui se joue en vous. Et ce qui s’est construit en termes de dynamique familiale. Certains endossent un rôle d’“enfant thérapeute” responsable de l’équilibre et de l’harmonie du groupe. Sur eux repose une grande pression, qu’il convient de déposer et partager.

La solution de Matthieu, 35 ans

« Sur les conseils de mon psy, à Noël, en 2013, j’ai dit non ! Je n’allais pas bien, trop de pression au bureau, des soucis dans mon couple. Surtout, j’étais épuisé physiquement. Ça a été difficile, mais j’ai décidé de partir trois jours seul, dans un petit gîte, sur la Manche. Juste pour voir. Voir comment réagissait ma famille. Voir aussi ce qui se passait en moi. Eh bien, ce Noël-là a été très enrichissant. Mes proches ont enfin compris que je n’étais plus ce petit garçon modèle à qui tout réussit. Et moi, j’ai enfin accepté de sortir du perfectionnisme et de prendre soin de moi. »

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

On parle bien de survie, oui.

Morbier, jambon cru, bacon, rosette, salami, pommes de terre…

Ce début décembre, vous avez peut-être annoncé l’ouverture officielle de la saison des raclettes. Les avancées de bras pour tremper ses bâtonnets de concombre dans du houmous ont laissé place aux mouvements de poêlons.

Tout cela est bien savoureux mais représente beaucoup de glucides, donc des sucres, avec les inévitables pommes de terre.

Comme l’honnêteté me pousse à reconnaître que la raclette du week-end dernier ne sera – fort heureusement – pas la dernière, voici mes astuces pour savourer, en total respect de votre foie et de vos intestins.

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, raclette, céto, low carb, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignagePrévenons immédiatement un tollé général : pas question ici de dénaturer le mets en troquant le fromage pour du tofu soyeux.

On commence par SUPPRIMER les pommes de terre. Et remplacez-les par des navets et des broccolis.

Afin de conserver son système digestif intact, on ajoute ensuite des légumes dans son assiette. Les fibres des légumes et des fruits amélioreront le transit et faciliteront la digestion. On peut par exemple ajouter de la salade verte.

Bien sûr, limitez l’alcool pour éviter de ralentir l’efficacité de son foie.

Pour booster la production de bile dans le foie, nécessaire pour digérer, faites une petite marche de 15 minutes avant et après le repas.

Si certains ont faim au réveil le lendemain, on privilégie les protéines et les boissons chaudes. Bref, un bon petit-déjeuner anglais, par exemple. Mais si vous n’avez pas faim, ne mangez pas ! Et attendez le déjeuner.

Tout au long de la journée post-fromage, l’accent doit être mis sur l’hydratation afin de drainer, d’évacuer au maximum les toxines et de réhydrater le corps. Les plus radicaux – et les moins indemnes – ne mangeront que des soupes le lendemain ; les autres se contenteront d’une mise au vert pour compenser le manque de fibres de la veille :  l’on consommera plutôt des salades de crudités, les légumes cuits ou des soupes de légumes.

Le tout doit être accompagné d’un minimum d’activité physique.

En aucun cas pour tenter vainement de brûler les calories ingérées, mais pour aider un foie qui peine à travailler. En activant la circulation sanguine, l’activité physique provoque un afflux de sang vers le foie et l’aide à fonctionner. Inutile de se forcer à courir une heure. Une demi-heure de marche rapide ou de longueurs en piscine suffit.

De quoi lutter, en même temps, contre le blues du dimanche.

 

 

 

La fin de l’automne et le début de l’hiver peuvent avoir des répercussions sur votre santé mentale.

Je me suis intéressé à la fatigue engendrée par l’arrivée de cette saison pour mes clients.

L’automne est arrivé avec son lot de changements. La température est plus fraîche et le ciel vire régulièrement au gris. Et la transition n’est pas facile ! Certaines personnes le vivent mal et évoquent des conséquences sur leur santé mentale.

L’arrivée de l’automne est synonyme de baisse d’énergie. Vous aussi ?

La fin de l’automne n’arrive jamais seule. Elle est très souvent accompagnée d’une petite baisse de moral bien visible. Un sondage mené par YouGov pour le HuffPost recense cet état d’esprit. 41 % des personnes interrogées confient être particulièrement fatiguées pendant cette saison, 22 % avouent même ressentir une certaine déprime saisonnière

F. Duval-Levesque, psychopraticien,hypnose, coach, mal-être, anxiété, angoisse, addiction, traumatisme, peur, tabac, dépression saisonnière, stress, burnout, PNL, téléséance, téléconsultation, avis, témoignageLe froid qui s’installe progressivement et les journées qui raccourcissent ont aussi des conséquences sur l’énergie. Plus de 60 % des interrogés jugent l’automne et le début de l’hiver comme étant directement responsable de leur manque de vitalité. La baisse de luminosité naturelle pourrait probablement en être une des raisons.

Pour pallier cette carence, 30% des interrogées comptent adapter leur alimentation, 26% prendre des vitamines et compléments alimentaires, et 44% consultent un psy pour se sentir mieux.

Et ils ont bien raison.

Le changement de saison est propice à votre fatigue. Le corps réagit à chaque changement saisonnier. Ses mécanismes sont multiples et il n’est pas rare que le système immunitaire ait du mal à s’adapter à la luminosité et aux nouvelles températures.

À cet épuisement physique s’ajoute une fatigue psychologique, appelée dépression saisonnière. Ce trouble est un problème de société assez courant dans les pays nordiques dans lesquels la luminosité est très faible. Les femmes seraient davantage touchées que les hommes.

Heureusement, de nombreuses solutions existent pour réduire les effets du changement de saison sur le moral.

Alors, quand prendrez-vous rendez-vous pour vous sentir mieux ?

 

 

 

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-> Les séances se font à mon cabinet toulousain, ou en téléconsultation (par Skype, WhatsApp, Zoom), ou au domicile de mon client. Plus d’informations utiles pour résoudre votre problème en cliquant sur les liens en haut de ce blog « duvallevesque-psychotherapie-hypnose.fr ». Mailez-moi ou appelez-moi pour tout conseil dont vous avez besoin. Tout finira par s’arranger 🙂

 

Apprend-on vraiment de ses échecs ?

C’est une évidence pour les managers, les philosophes, et même pour Cosmo : on apprend plus de ses échecs que de ses succès !

L’échec, dit-on, rend humble. Il nous force à nous remettre en question. Le succès, lui, nous rend complaisants.

Ce serait en effet une consolation – si c’était toujours vrai. Hélas, ce n’est pas si sûr.

Dans les organisations, une célèbre étude de 2005 suggère que les échecs des petites expérimentations confortent l’idée qu’il est inutile d’expérimenter, tandis que les grands désastres sont invariablement attribués à des causes exogènes et inévitables.

Pas vraiment la remise en question…

Est-ce à cause des jeux politiques ? Sans doute, mais la même tendance se retrouve chez les individus. En gros, nous imputons nos échecs à des causes extérieures, ce qui nous dispense d’apprendre.

La raison, bien sûr, c’est que quand on échoue, on se sent menacé, et on « déconnecte ».

D’ailleurs, on apprend mieux quand on réussit (tous les profs le savent). D’où la brillante suggestion de deux chercheuses de Chicago : étudiez plutôt les échecs… des autres.

Vous apprendrez autant qu’en étudiant leurs succès, et plus qu’en retournant le couteau dans la plaie de vos propres loupés !

Apprenons de nos erreurs…

… et dans ce cadre penchons-nous sur cette étude récente menée sur 2 200 Britanniques et qui établit la liste de leurs regrets à propos de leur première expérience sexuelle. 1, cité à 71%, le choix du/de la partenaire, 2 un lieu « inconfortable » (61%), 3 avoir été saoul/e pendant les faits (57%), 4 ne pas avoir eu de rapport protégé (44%), # avoir fait ce jour/soir-là un mauvais choix de sous-vêtements (11%)…

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